Savoir pouvoir vouloir 2

Bien sûr, mon texte antérieur n'était pas parfait, loin s'en faut. Il était même un peu exagéré et simpliste. Mais il avait le mérite d'inviter à prendre en considération les trois dimensions primordiales de l'activité humaine.

Certains auraient sans doute voulu voir le verbe "devoir· apparaître dans cette liste pour donner un quatrième dimension. Mais, à mon sens, le verbe "devoir" doit beaucoup au croisement de "pouvoir" et "vouloir" qui est l'obéissance à un ordre ou à une morale (opinion).

D'autres auraient voulu que j'évoque l'autre trilogie de la condition humaine qui s'utilisa beaucoup en science politique : être, avoir et faire. Mais dans ce cas là il s'agit de la condition davantage que de l'activité. Une société humaine construit une identité culturelle des personnes qui éligiront (volontairement ou non selon le degré d'endoctrinement) privilégier l'être l'avoir ou le faire dans leur vie propre.

Etre, avoir ou faire... Savoir, pouvoir ou vouloir...

La vie est magnifique, il nous faut la vivre à fond davantage qu'essayer de la préserver à tout prix. Vivre pleinement est le secret d'une vie belle et remplie.

Ces six verbes construisent et détruisent tout sur leur passage, mais ils aident à construire sa propre vie.

1 - Savoir

Bien entendu, le monde évolue et le savoir aussi. L'accès aucx connaissance a vecu une grande révolution avec INternet, mais hélas elle s'est accompagné d'une terrible méprise : il ne suffit pas de donner toutyes les connaissance du monde pour augmenter la connaisance des peuples, il faut d'abord les éduquer et leur apprendre à apprendre, sinon il se retrouvent face à Internet comme dans un bibliothèsqusans savoir trouver un livre.

Et les fausse informations, les mensonges, les thèses conspirationistes pululent sur Internet, agissant comme un contre pouvoir terrifiant détruisant tout l'intéret d'Internet.

Et nos sociétés qui se développent désormais sur le mode de la comodité et de la mercantilisation, se chargent aussi de colporter un discours du savoir qui nous manipulent et nous oriente dans nos choix et dans nos idées, en construisant un idèologie modialisée du "bon sens commun" et nous le matraquant jusqu'à ce qu'il devienne notre prorpre vérité, en nous retirant petit à petit tout critiue possible.

En clair les media, la publicité, la propagande politique et les grandes transnationles nous transmettent un savoir de force... 

Savoir pour comprendre, savoir pour grandir libre et critique deveint de plus en plus compliqué.

2 - Pouvoir

Mens san in corpore sano... Tu parles... Certes la pratique d'une activité physique bone pour la santé entre dans les moeurs, on devient plus fort, plus en forme et on vit plus vieux. On peut davantage et plus longtemps... Gage du fameux "Toujours plus" qui tue la planète.

Mais cette liberté personnelle se heurte vite aux lois. On peut beaucoup de choses, certes mais on nous en empêche aussi beaucoup plus et sans que l'on rechigne. Pour notre bien à tous, selon eux.

Etant surveiller en permanence dans la rue par des caméras, au travail par les horaires, les collègues et Internet, et à travers les portables et les ordinateurs et INternet de facon permanente, nous avons vendu notre liberté au diable.

Agir sans être observé, surveillè, épié ou dénoncè devient de plus en plus difficile. Et nous allons accepté ce BIgBrother sans sourciller ? Faudra-t-il créer un mouvement interntional "Disconnected" ou "Unplugged" de gens qui décideraient partout dans le monde de n'avoir ni portable ni Internet pour passer inpercu ? 

3 - Vouloir

Les rêves, les désirs, les envies... qu'en faisons-nous ?

Sommes-nous  vraiment maître aujourd'hui de nos désirs et de nos ambitions ? Construisons.nous réellement nos vies à partir de nos encvies, de nos aspirations, de nos désirs et de nos attentes ? Faisons- nous vraiment ce que nous souhaitons faire ? 

Ou bien obéissons-nous aux stérétypes que nous vendent les marchands, les gouvernement, les parents, la morale, la mode, le markjeting, la pression sociale ?

Il me semble que notre degré de liberté de pouvoir vouloir se rétrécie avec le temps, avec les chaines qu'ils nous mettent aux pieds en nous vendant un crédit, en nous créant sans cesse de nouvelles nécéssités qu'il faut payer, en nous obligeant donc à travailler plus pour pouvoir payer une vie qui coûte toujours plus cher.... mais pourquoi ? La croissance ?

Voulons-nous la croissance ? Cette qui polue les océans, sacage les forêts, fait disparaître des milliers d'espèces animales et rend l'air irrespirable ?

Cette croissance où l'on s'entasse par millions dans ces megapôles inhumaines, poluées et invivables ?

Cette croissance d'avoir une auto toujours plus grande et plus rapide, un portable toujours plus grand et plus rapide, une maisons toujours plus grande, avec des vacances toujours plus longues, une vie encore plus longue, et des voyages toujours plus fantastiques et ébourrifants ?

Oui, je sais, il y a un certain pessimisme insupportable dans ce que j'écris. Mais commentêtre optimiste quand le pays soi-disant le plus moderne, les USA, celui qui nous vend sa morale, sa merde, son impérialisme et son modèle, se retrouve dans une situation pitoyable, pathñetique et tragique, cumulant à la fois les pires statistiques face au coronavirus, et qui plonge dans l'horreur d'une guerre civile basée sur le racisme, la violence policière et la discrimination ?

Ils ont voulu nous faire croire au pays de Forest Gump, de Né un Juillet, de Independance Day, de 2012, de Superman, de la Petite Maison dans la prairie, de l'inspecteur Colombo ou de Starsky et Hutch... 

Et c'est la pire des distopie qui se dessine dans toute l'Amérique.