Travaille !

« Faites du travail, il en restera toujours quelque chose ! »

En ce 1^er mai 2011, on est toujours sans nouvelle de ces chers idéologues politiques qui vont nous proposer quelque chose de nouveau concernant le rôle du travail dans nos sociétés qui ne cessent d’évoluer dans des directions qui ne sont pas toujours compatibles avec l’exploitation du capital, ou le partage des richesse, ou la rentabilité de la sueur, ou la reconnaisance des professions à risques, etc.

Avec l’hégémonie des rentes sur le capital à travers les fonds de pension et autres tristes sires du capìtalisme sans honte, on est en droit de se demander comnment pourrait-on redéfinir le travail, son opbjectif principal (pas seulement le revenu, sinon la place sociale, la satisfaction personnelle et le service rendu à la société).

A mon sens, l’éducation est prioritaire devant le travail.

Il n’y a de bon travail qu’avec une bonne éducation,

Le travail sans éducation est trop proche de l’exploitation, de l’esclavagisme, de l’enrichissement des plus riche au détriment des sans-competences qui sont, dans ce cas, les plus pauvres.

Il faut donc tout faire pour que partout dans le monde, l'éducation devienne publique et de qualité, la privatisation de l’éducation et donc du savoir finit toujours par laisser la connaissance, l’information, les compétences et l’enrichissement aux mains des plus riches ou des plus puissants. On en voit le terrible exemple au Chili même, fidèle élève des doctrines ultralibérales de Friedmanqui a toujours prôné la privatisation de l’éducation comme outil nécéssaire à l’implantation de sa doctrine. [lire "la stratégie du choc" de Naomie Klein pour s'en convaincre, le tiers du livre évoque le cas chilien]

L’éducation sert d’abord et avant tout la transmission d’une culture commune afin de l’enrichir collectivement et individuellement. L’éducation ne sert pas à trouver un travail ou à acquérir les aptitudes nécessaire à tel poste de travail. L’outil éducatif ne doit pas se mettre au service du monde industriel ou de service, car il est avant tout producteur de savoir, de connaissances et de progrès, autant d’enrichissement que le secteur productif saura bien mettre à profit par ailleurs.

En cela, le travail et sa rémunération devraient être repensé actuellement par le politique, car les évolution de certains poays montre que le lieu du travail a changé avec Internet, que les horaires de travail ont change avec la globalisation et le developpement du temps libre, que les objectifs du travail ont changé avec le flux tendu, la privatisation du service public, l’extension de la concession, etc.

Entre l’ulttralibéralisme qui s’étend comme une peste, et le communisme victime de mort violente, il y d’autres possibilités plus humaines, humanistes et souhaitables.

Qu’attend-on pour y penser plutôt que de songer, par exemple en France, à élire comme président de la république le chef du FMI ?
 « Faites du travail, il en restera toujours quelque chose ! »