Accident du Monde

La foule des événements actuellement dans le monde rend impossible de les suivre tous et de facon correcte, sans discriminer les intérêts des uns ou des autres, sans se rendre compte qu'on est davantage curieux d'une chose que de l'autre, d'un thème ou d'un pays plutôt que d'un autre.

Alors, par flemme aussi, par cusiosité ou par atavisme, on lit les autres, ca va plus vite.

Parfois on tombe sur des gens qui n'ont pas lu "La supplication" de Svletana Alewxievitch et qui se donne le droit d'écrire n'importe quoi dans le journal Le Monde sur le risque nucléaire en général et sur la catastrophe récente au Japon en particulier. Si vous n'avez pas froid aux yeux, allez là : Fukushima un accident de civilisation

http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/04/09/fukushima-un-accident-de-civilisation_1505311_3232.html

Dans la mème veine on attend les "la guerre un accident de civilisation" !

Car la guerre la France y a actuellement les deux peids...

Afghanistan,, Lybie, Côte d'Ivoire...

Belliqueuse la France de Sarkozy...

Sarkozy un accident de la politique ?

Dans nos époques de risque zéro, de tolérance zéro, de "tout, tout de suite", de boissons pour avoir la pêche tout la nuit et de boissons pour pouvoir dormir ensuite, on fait la guerre comme on fait du bizness.

Je voulais parler de tremblement de terre, de nucléaire et de guerre...

Mais contrairement à d'autres, je tournerai sept fois ma langue dans la bouche et reprendrai mon ouvrage à plusieurs reprises avant d'éditer.

Franchement la crise rend aveugle,

mais pourvu qu'elle ne nous rende pas trop cons non plus.

Comments

[jonathan]

Cher Bertrand,


Discerner les intérets au milieu de tout ce merdier devient franchement difficile ou il en devient ardue de discerner le point blanc sur fond noir (et vice versa); Sans doute vaut il mieux se
couper volontairement du flux pour en sorir plus souple?


tout étant logique et imbriqué, tourner sept fois ou plus sa langue dans sa bouche devrait être normal. Tout, tout de suite, le quid en a fait son slogan, mais quid de l'info ou guignol du
quotidien, franchement si la crise rend con...je crois qu'on aura droit a regardera l'abîme sans avoir peur de voir un fond.


On en regrette les Eluard, Ferra...et autres