Ouvrir les yeux au voyage
Retrouver l’esprit voyageur, oublier l’errance maladive
et la stagnation microbienne.
Eviter la Valparaisectomie !
Rouvrir l’œil et revoir les choses que l’on connaît sous un nouveau jour, parce que c’est aussi la période d’une belle et nouvelle lumière, celle du printemps qui arrive et qui ramène un soleil chaud et lumineux,
une chaleur douce et les gens sur la plage le week-end.
La plage, voilà bien l’endroit où l’on retourne forcément pour se ressourcer.
Y faire un bain de soleil ou un bain de pied
ou encore un bain de soleil des pieds.
Clic pour aller à la plage ?
Ha! L’image fantasmatique du planqué de la vie et du réfractaire au contrat social, celui des doigts de pieds en éventail sur une plage du bout du monde.
Ne voyez dans ce cliché aucune provocation gratuite ni aucun sadisme.
Ces pieds avaient vraiment besoin de prendre l’air iodé, regardez comme ils sont blancs, pâles et quasi maladifs quand, dans un même temps, se détache derrière eux le bleu azur d’un océan pacifique que l’on ne se lasse pas de regarder en rêvant d’y naviguer.
Retrouver le regarde du voyageur, y compris sur ses propres pieds,
est-ce là le secret de la liberté du voyage ?
Comment appréhender cet océan qui vous nargue, qui fait à la fois office de frontière, de limite, de repère et d’horizon ?
Et dans un même temps, cet océan qui est une route qui contient
des milliers de routes. Cet océan qui est aussi un portail ouvert sur l’autre côté du monde, sur l’immensité océanique, sur l’exotique monde océanien, sur l’Asie.
Cet océan qui change tous les jours de forme de couleur, de surface et de force, mais qui est toujours là, ancré dans la baie de Valparaiso, près à rugir.
Il apporte ou emporte chaque jour son lot de cargos et de vaisseaux divers qui sont autant de valises à rêves.
Et la population de Valparaiso se partage alors en deux catégories bien distinctes. Ceux qui se contenteront toujours du rêve d’embarquer un jour
et ceux qui ont la chance de monter à bord pour aller accoster ailleurs.
Clic pour embarquer ou pour rêver ?
Le voyage commence d’abord dans la tête, dans le rêve
et dans l’acceptation du rêve comme l’introduction à la réalité.
Rêvons et aimons nos rêves qui vont éclore.
A qui l'embarquement prochain ?
et la stagnation microbienne.
Eviter la Valparaisectomie !
Rouvrir l’œil et revoir les choses que l’on connaît sous un nouveau jour, parce que c’est aussi la période d’une belle et nouvelle lumière, celle du printemps qui arrive et qui ramène un soleil chaud et lumineux,
une chaleur douce et les gens sur la plage le week-end.
La plage, voilà bien l’endroit où l’on retourne forcément pour se ressourcer.
Y faire un bain de soleil ou un bain de pied
ou encore un bain de soleil des pieds.
Clic pour aller à la plage ?
Ha! L’image fantasmatique du planqué de la vie et du réfractaire au contrat social, celui des doigts de pieds en éventail sur une plage du bout du monde.
Ne voyez dans ce cliché aucune provocation gratuite ni aucun sadisme.
Ces pieds avaient vraiment besoin de prendre l’air iodé, regardez comme ils sont blancs, pâles et quasi maladifs quand, dans un même temps, se détache derrière eux le bleu azur d’un océan pacifique que l’on ne se lasse pas de regarder en rêvant d’y naviguer.
Retrouver le regarde du voyageur, y compris sur ses propres pieds,
est-ce là le secret de la liberté du voyage ?
Comment appréhender cet océan qui vous nargue, qui fait à la fois office de frontière, de limite, de repère et d’horizon ?
Et dans un même temps, cet océan qui est une route qui contient
des milliers de routes. Cet océan qui est aussi un portail ouvert sur l’autre côté du monde, sur l’immensité océanique, sur l’exotique monde océanien, sur l’Asie.
Cet océan qui change tous les jours de forme de couleur, de surface et de force, mais qui est toujours là, ancré dans la baie de Valparaiso, près à rugir.
Il apporte ou emporte chaque jour son lot de cargos et de vaisseaux divers qui sont autant de valises à rêves.
Et la population de Valparaiso se partage alors en deux catégories bien distinctes. Ceux qui se contenteront toujours du rêve d’embarquer un jour
et ceux qui ont la chance de monter à bord pour aller accoster ailleurs.
Clic pour embarquer ou pour rêver ?
Le voyage commence d’abord dans la tête, dans le rêve
et dans l’acceptation du rêve comme l’introduction à la réalité.
Rêvons et aimons nos rêves qui vont éclore.
A qui l'embarquement prochain ?
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